Avez-vous visité un WallMart dernièrement? C'est laid! Et dire qu'il y a à peine quinze ans, on regardait comme les Wallmart comme une menace à notre culture, une menace à nos entrepreneurs, l'essence même du capitalisme pur, celui qui frappe et écrase tout au passage.
Pour le dernier trimestre de 2010, les experts estiment que les profits du géant du "retail" atteindront les 5 milliards de dollars US. D'accord, sauf que ici, au Québec ca à l'air de faire dure. J'ai pas trouvé les chiffres, et je ne crois pas qu'ils soient disponibles non plus. Sauf que...
Sauf que les quelques fois que je suis allé au Wallmart cette année, j'ai trouvé que j'avais perdu mon temps. À chaque fois j'y suis allé avec l'espérance de faire des économies, une grande déception m'a envahie lors de mon arrivée. Un magasin rempli d'immigrants qui doivent venir tout juste d'arriver et ne connaissent pas de meilleur endroit pour magasiner, des allées sales et désordonnés, des produits plus désordonnés qu'une chambre d'ado. Et la cerise sur le sundae, des prix plus élevés que la moyenne. À part les quelques nouveaux venus qui semblent croire que WallMart se doit d'être le "best shop in town", le magasin est pas mal désert. J'ai attendu moins de 5 minutes à la caisse pour mes quelques petits achats, un 21 Décembre. Moins de temps d'attente que pour m'acheter un paquet de gomme à la station d'essence!
mardi 21 décembre 2010
mardi 7 décembre 2010
Pourquoi la fermeture de Recyc-Québec ne me dérange pas. 2de3
Suite à la publication précédente, j'ai reçu de nombreux commentaires me manifestant que "Recyc-Québec" ne serait pas fermé, qu'il serait plutot "rapatrié" dans les bureaux du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs.
Il est évident que les services actuellement offerts continueront d'être offerts aux citoyens, là n'est pas la question. Je ne remet pas en plus les compétences des fonctionnaires travaillant actuellement chez Recyc-Québec, même si certains ont interprétés mes commentaires de cette manière. Je connait moi même des gens dévoués et intègres y travaillant et je ne croit pas que personne ne peut pointer du doigt des individus face au manque d'incompétences d'un organisme. Évidemment, j'ai peur que le niveau baisse plus qu'il ne l'est en ce moment.
En fait, je me demande ce qui à transformé notre fonction publique, autrefois innovatrice avec ses grand projets et réalisations en cette administration de poules mouillés qui nous gouverne aujourd'hui. Nos gouvernements ont pris de beaux risques par le passés, desquels sont nés des sociétés d'états tel qu'hydro-Québec, qui nous fournit depuis plusieurs années une énergies parmis les plus propres disponible à ce jour, tout en contribuant à la communautée. Notre société à été révolutionné par des projets ambitieux qui nous ont rendu plus performant et ont ouvert une fenêtre au monde entier sur le Québec.
Cependant, la réalité d'aujourd'hui est toute autre. Nous faisons les choses à l'envers. Plutot que légiférer auprès des fabricants afin de réduire l'emballage à la source et d'armoniser la composition de ceux-ci, nous avons décidé de sensibiliser des millions de Québécois pour une collecte sélective et un recyclage qui est loin d'être homogène d'une municipalité à une autre et même d'un arrondissement de Montréal à un autre. Plutot que de devenir un exemple à l'échelle planétaire qui serait éventuellement copié par des états tel la Californie, nous préféront faire comme tout le monde et appliquer une méthode vouée à l'échec: le statut quo en matière de légifération et l'impossible tâche d'éduquer la totalité de notre société à bien faire en matière environnementale puisqu'on à peur de froisser des fabricants qui ne voudront plus nous vendre si on est trop strict avec eux. Franchement!
En matière d'environnement, les entreprises savent que la tendance est à devenir le plus vert possible. C'est pourquoi des projets tel que LEED sont si importants et progresse aussi vite de nos jours. Aucun fabricant ne peut se permettre, en 2010/2011, de risquer le blâme social suite à avoir refusé de faire des changements dans le but d'amméliorer son impact environnemental.
Plutot que de tenter d'apprendre à ma grand-mère de 92 ans et à ma nièce de 6 ans comment remplir le bac de recyclage, pourquoi ne pas légiférer afin que les emballages deviennent petit à petit uniformes d'un fabricant à l'autre? Qu'on s'assure que la pellicule plastique soit recyclable et que les types de plastiques des contenants deviennent homogène afin de pouvoir les recycler sans problème. Que les fabricants aient des normes à suivre dans les pourcentage d'emballage permis et que les contrevenants soient sévèrement taxés. Il est probable que le citoyen se fera refiler la facture au début, mais dans notre société compétitive, les prix redescendront rapidement et deviendront éventuellement plus bas qu'ils ne le sont actuellement.
Il est évident que les services actuellement offerts continueront d'être offerts aux citoyens, là n'est pas la question. Je ne remet pas en plus les compétences des fonctionnaires travaillant actuellement chez Recyc-Québec, même si certains ont interprétés mes commentaires de cette manière. Je connait moi même des gens dévoués et intègres y travaillant et je ne croit pas que personne ne peut pointer du doigt des individus face au manque d'incompétences d'un organisme. Évidemment, j'ai peur que le niveau baisse plus qu'il ne l'est en ce moment.
En fait, je me demande ce qui à transformé notre fonction publique, autrefois innovatrice avec ses grand projets et réalisations en cette administration de poules mouillés qui nous gouverne aujourd'hui. Nos gouvernements ont pris de beaux risques par le passés, desquels sont nés des sociétés d'états tel qu'hydro-Québec, qui nous fournit depuis plusieurs années une énergies parmis les plus propres disponible à ce jour, tout en contribuant à la communautée. Notre société à été révolutionné par des projets ambitieux qui nous ont rendu plus performant et ont ouvert une fenêtre au monde entier sur le Québec.
Cependant, la réalité d'aujourd'hui est toute autre. Nous faisons les choses à l'envers. Plutot que légiférer auprès des fabricants afin de réduire l'emballage à la source et d'armoniser la composition de ceux-ci, nous avons décidé de sensibiliser des millions de Québécois pour une collecte sélective et un recyclage qui est loin d'être homogène d'une municipalité à une autre et même d'un arrondissement de Montréal à un autre. Plutot que de devenir un exemple à l'échelle planétaire qui serait éventuellement copié par des états tel la Californie, nous préféront faire comme tout le monde et appliquer une méthode vouée à l'échec: le statut quo en matière de légifération et l'impossible tâche d'éduquer la totalité de notre société à bien faire en matière environnementale puisqu'on à peur de froisser des fabricants qui ne voudront plus nous vendre si on est trop strict avec eux. Franchement!
En matière d'environnement, les entreprises savent que la tendance est à devenir le plus vert possible. C'est pourquoi des projets tel que LEED sont si importants et progresse aussi vite de nos jours. Aucun fabricant ne peut se permettre, en 2010/2011, de risquer le blâme social suite à avoir refusé de faire des changements dans le but d'amméliorer son impact environnemental.
Plutot que de tenter d'apprendre à ma grand-mère de 92 ans et à ma nièce de 6 ans comment remplir le bac de recyclage, pourquoi ne pas légiférer afin que les emballages deviennent petit à petit uniformes d'un fabricant à l'autre? Qu'on s'assure que la pellicule plastique soit recyclable et que les types de plastiques des contenants deviennent homogène afin de pouvoir les recycler sans problème. Que les fabricants aient des normes à suivre dans les pourcentage d'emballage permis et que les contrevenants soient sévèrement taxés. Il est probable que le citoyen se fera refiler la facture au début, mais dans notre société compétitive, les prix redescendront rapidement et deviendront éventuellement plus bas qu'ils ne le sont actuellement.
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